Assurance vie : les retraits avant la fin du contrat
Depuis quelques années, il devient difficile de garder et de gagner de l’argent sans en perdre ne serait-ce que le tiers de la somme.
Dans un contexte aussi complexe, les épargnes viennent faire leurs entrées. En générale, les épargnes sont des moyens de « garder l’argent au frais » et d’évincer tout risque de le voir diminuer. Une parmi ces épargnes est l’assurance vie.
L’assurance vie est un moyen de mettre de l’argent de côté et de bénéficier de taux avantageux au fil des années. A la différence des simples épargnes, l’assurance vie est sous contrat et sous conditions. Les banques et les organismes spécialisés dans le domaine sont en charge d’effectuer l’assurance vie.
L’assuré peut verser une somme et signe un contrat. S’il ne meurt pas avant la fin de son contrat, il peut jouir de la totalité de sa somme. Dans le cas contraire, la somme est octroyée à une tierce personne nommée bénéficiaire (et déjà cité à l’avance par l’assuré dans le contrat).
Les retraits pouvant être effectués
Il est à noter que dans le cas de l’assurance vie, il est tout à fait possible de faire des retraits partiels ou même totaux au cours des années et mêmes des mois à compter de la date où le premier versement a été fait.
Si l’assuré fait un retrait total le contrat est tout de suite annulé et sa souscription n’est plus validé à partir du moment où le retrait est fait. Le retrait total est suivi d’un impôt par rapports aux revenus. Dans le cas du retrait partiel, cela se passe autrement.
L’impôt est toujours présent mais cela est défini en fonction de l’ancienneté du contrat. Et pour plus de 7 ans, il peut revenir à 15% pour le retrait total. Les retraits sont définis sous le terme de rachat dans le domaine de l’assurance vie. Pour ne pas s’incliner dans la perte, il faut alors trouver l’équilibre entre les rachats partiels et les gains obtenus au fil des mois ou des années.